Schémas émotionnels
communément rencontrés chez les personnes atteintes de la maladie de Lyme
Cet extrait provient de la traduction d’un texte écrit par Amy B. Scher, une experte dans la guérison corps-âme-mental,
auteure du best-seller « This Is How I Save My Life » (paru en anglais en janvier 2013) et elle-même atteinte de la maladie de Lyme – dont elle se serait finalement guérie complètement après de nombreuses années de combats et de traitements.
N’hésitez pas à consulter son site à l'adresse suivante: www.amybsher.com.
auteure du best-seller « This Is How I Save My Life » (paru en anglais en janvier 2013) et elle-même atteinte de la maladie de Lyme – dont elle se serait finalement guérie complètement après de nombreuses années de combats et de traitements.
N’hésitez pas à consulter son site à l'adresse suivante: www.amybsher.com.
Amy B. Scher a remarqué des similitudes émotionnelles étonnantes auprès de ses patients atteints de la maladie de Lyme (qui représente environ 50% de sa clientèle). Son expérience lui a démontré que certains de ces schémas pouvaient retarder la guérison.
Dans cette perspective, on dit que les problèmes émotionnels non résolus et les schémas émotionnels négatifs peuvent générer un stress énorme sur le système immunitaire, ce qui peut ainsi permettre à la maladie de prendre le dessus. Il faut savoir que le corps et ses différents systèmes ne peuvent pas faire la différence entre une émotion négative, un traumatisme ou une blessure. Qu’il s’agisse d’une menace hypothétique créée par des émotions refoulées ou d’une menace réelle contre notre intégrité physique, le stress engendré dans le corps sera d’égale intensité. Si le problème émotionnel ou le traumatisme n’est pas libéré, notre corps pourrait demeurer dans un perpétuel état de stress. Au contraire, la suppression de ces problèmes émotionnels pourrait s’avérer très bénéfique pour libérer le corps de stress inutiles et ainsi rétablir l’efficacité optimale du système immunitaire.
Selon l’avis de la thérapeute, une maladie sert toujours un but - pour assurer notre sécurité, pour nous permettre de justifier le fait que nous ne sommes pas parfait, pour nous forcer à prendre soin de nous-mêmes alors que nous n’aurions pas consenti à le faire sans nous sentir atrocement coupable, pour nous permettre de réévaluer la façon dont nous vivons, nos relations, nos valeurs, etc. etc.
Le seul moyen qu’a notre corps de communiquer avec nous, c'est avec des symptômes, et il travaille d’arrache-pied quand vient le temps de les utiliser pour attirer notre attention. Une fois que vous enlevez la raison qui a poussée le corps à attirer votre attention, il est incroyable de constater à quelle vitesse les symptômes peuvent commencer à tomber les uns après les autres, puisque leurs raisons d’être n’existent plus.
Ça semble un peu trop facile à votre goût? Pourtant, sans attendre nécessairement que survienne un miracle, il n’en coûte rien de fouiller un peu nos conflits émotionnels refoulés depuis belle lurette. Sans remplacer l’action des antibiotiques, pourquoi se passer d’un petit « boost » sur le système immunitaire?
Dans cette perspective, on dit que les problèmes émotionnels non résolus et les schémas émotionnels négatifs peuvent générer un stress énorme sur le système immunitaire, ce qui peut ainsi permettre à la maladie de prendre le dessus. Il faut savoir que le corps et ses différents systèmes ne peuvent pas faire la différence entre une émotion négative, un traumatisme ou une blessure. Qu’il s’agisse d’une menace hypothétique créée par des émotions refoulées ou d’une menace réelle contre notre intégrité physique, le stress engendré dans le corps sera d’égale intensité. Si le problème émotionnel ou le traumatisme n’est pas libéré, notre corps pourrait demeurer dans un perpétuel état de stress. Au contraire, la suppression de ces problèmes émotionnels pourrait s’avérer très bénéfique pour libérer le corps de stress inutiles et ainsi rétablir l’efficacité optimale du système immunitaire.
Selon l’avis de la thérapeute, une maladie sert toujours un but - pour assurer notre sécurité, pour nous permettre de justifier le fait que nous ne sommes pas parfait, pour nous forcer à prendre soin de nous-mêmes alors que nous n’aurions pas consenti à le faire sans nous sentir atrocement coupable, pour nous permettre de réévaluer la façon dont nous vivons, nos relations, nos valeurs, etc. etc.
Le seul moyen qu’a notre corps de communiquer avec nous, c'est avec des symptômes, et il travaille d’arrache-pied quand vient le temps de les utiliser pour attirer notre attention. Une fois que vous enlevez la raison qui a poussée le corps à attirer votre attention, il est incroyable de constater à quelle vitesse les symptômes peuvent commencer à tomber les uns après les autres, puisque leurs raisons d’être n’existent plus.
Ça semble un peu trop facile à votre goût? Pourtant, sans attendre nécessairement que survienne un miracle, il n’en coûte rien de fouiller un peu nos conflits émotionnels refoulés depuis belle lurette. Sans remplacer l’action des antibiotiques, pourquoi se passer d’un petit « boost » sur le système immunitaire?
Mais qu’est-ce que votre corps essaie de vous dire?
1. Auto-critique (la peur de ne pas être parfait)
C'est de loin le schéma émotionnel le plus fréquemment rencontré avec la maladie de Lyme. Parmi la clientèle d’Amy, les patients atteints de la maladie de Lyme sont définitivement ceux qui se révèlent les plus impitoyables envers eux-mêmes et exigeants à propos d’à peu près tout. Ce processus est tellement inconscient que beaucoup de gens ne le réalisent pas, jusqu'à ce que nous commencions à décortiquer ce qui se passe réellement. Il s’exprime souvent sous forme de peur ou de culpabilité. Si ces 2 émotions apparaissent souvent dans votre vie, les chances sont grandes que vous soyez une personne très critique envers vous-même.
Comme le dit un vieil adage: l'esprit conduit et le corps suit. Si nous sommes constamment en train de nous dire que nous ne sommes pas assez bon, de nous critiquer pour chaque petite chose que l’on fait, de nous inonder de culpabilité au moindre faux-pas, alors comment pouvons-nous nous attendre à ce que le corps, lui, n’ait aucune raison de se sentir indigne d’être en santé?
Et vous, quels sont les messages que vous envoyer à vous-même? Ceux qui affirment que vous méritez d’être en bonne santé? Ou ceux qui commandent à votre corps et votre esprit de justifier la croyance que la maladie est une punition que vous méritez bel et bien? Notre corps nous écoute - assurons-nous de ne pas lui envoyer de messages erronés.
Comme le dit un vieil adage: l'esprit conduit et le corps suit. Si nous sommes constamment en train de nous dire que nous ne sommes pas assez bon, de nous critiquer pour chaque petite chose que l’on fait, de nous inonder de culpabilité au moindre faux-pas, alors comment pouvons-nous nous attendre à ce que le corps, lui, n’ait aucune raison de se sentir indigne d’être en santé?
Et vous, quels sont les messages que vous envoyer à vous-même? Ceux qui affirment que vous méritez d’être en bonne santé? Ou ceux qui commandent à votre corps et votre esprit de justifier la croyance que la maladie est une punition que vous méritez bel et bien? Notre corps nous écoute - assurons-nous de ne pas lui envoyer de messages erronés.
2. Incapacité à se faire confiance soi-même et à avoir confiance en la vie (besoin d’être en contrôle)
Un autre pattern émotionnel qui revient souvent est l’incapacité à faire confiance - ce qui se traduit par l’impression de ne pas être en sécurité dans ce monde. Il s'agit d’un type de personnalité qui tente de TOUT contrôler. Non seulement cette quête de contrôle est complètement épuisante, mais en plus, elle est destinée à ne jamais fonctionner (sinon vous ne seriez probablement pas en train de lire ce texte). Nous avons toujours tendance à penser que, grâce à nos propres capacités d’analyse et de logique, nous sommes mieux placés que quiconque pour savoir comment gérer notre vie. Malheureusement (ou heureusement – c’est selon), ce n'est pas toujours vrai. Souvent, la vérité c’est qu’on planifie de façon exagérée, on cherche sans arrêt et partout, on analyse et compare tout ce qui se fait autour de la maladie de Lyme, on s’épuise à se renseigner sur toutes les perspectives et points de vues médicaux qui existent - et se contredisent plus souvent qu’autrement. Mais l'énorme quantité d'énergie ainsi consommée prive le corps et l’esprit d’une vitalité qui serait autrement utilisée à la guérison…
À quel point les choses seraient différentes si vous suiviez le flux de la vie vers la direction qu’elle essai de vous faire prendre? Pour ceux d'entre vous qui croient à une force qui nous dépasse en tant qu’humain (Amour, Univers ou Dieu), à quel point les choses seraient différentes selon vous si, pendant un court laps de temps, vous considériez qu'ils en savent plus que vous? Si vous considériez que votre moi intérieur (cette partie de vous d’où génère l’intuition) sait instinctivement ce qui est bon pour vous? Que pourrait-il se passer si, pendant un certain temps, vous ralentissiez vos efforts de recherches, de contrôle et d’analyse, pour vous laisser guider par vos ressentis?
Comme Amy, je crois qu'il y a un flux, un mouvement sous-jacent à la vie, un peu comme une rivière qui nous porterait doucement vers une destination impossible à appréhender par le mental humain. Et à force d’essayer de contrôler ce chemin à grands coups de logique, peut-être s’éloigne-t-on de la direction où nous sommes réellement censés aller?
À propos de son expérience personnelle, Amy écrit : « Un changement majeur s’est produit dans mon état de santé quand j'ai enfin pu lâcher prise... J’ai cessé de me contraindre à des règles de traitement irréalistes que je m’étais moi-même imposées... J’ai décidé de me faire confiance et qu’au moment où je sentirais que quelque chose ne va pas dans la bonne voie pour moi, je respecterais mes impressions et ferais des choix conséquents indépendamment de ce que les autres pourraient penser, et que tout serait Ok. À moins de l’avoir vécu soi-même, on ne peut imaginer quelle pression peut être relâchée quand un tel niveau de confiance et de lâcher-prise est atteint. »
À quel point les choses seraient différentes si vous suiviez le flux de la vie vers la direction qu’elle essai de vous faire prendre? Pour ceux d'entre vous qui croient à une force qui nous dépasse en tant qu’humain (Amour, Univers ou Dieu), à quel point les choses seraient différentes selon vous si, pendant un court laps de temps, vous considériez qu'ils en savent plus que vous? Si vous considériez que votre moi intérieur (cette partie de vous d’où génère l’intuition) sait instinctivement ce qui est bon pour vous? Que pourrait-il se passer si, pendant un certain temps, vous ralentissiez vos efforts de recherches, de contrôle et d’analyse, pour vous laisser guider par vos ressentis?
Comme Amy, je crois qu'il y a un flux, un mouvement sous-jacent à la vie, un peu comme une rivière qui nous porterait doucement vers une destination impossible à appréhender par le mental humain. Et à force d’essayer de contrôler ce chemin à grands coups de logique, peut-être s’éloigne-t-on de la direction où nous sommes réellement censés aller?
À propos de son expérience personnelle, Amy écrit : « Un changement majeur s’est produit dans mon état de santé quand j'ai enfin pu lâcher prise... J’ai cessé de me contraindre à des règles de traitement irréalistes que je m’étais moi-même imposées... J’ai décidé de me faire confiance et qu’au moment où je sentirais que quelque chose ne va pas dans la bonne voie pour moi, je respecterais mes impressions et ferais des choix conséquents indépendamment de ce que les autres pourraient penser, et que tout serait Ok. À moins de l’avoir vécu soi-même, on ne peut imaginer quelle pression peut être relâchée quand un tel niveau de confiance et de lâcher-prise est atteint. »
3. Tendance à prendre trop de responsabilités
Ce schéma concerne les gens qui s’en mettent beaucoup sur les bras et assument une multitude de rôles. Ces personnes sont particulièrement énergiques et dévouées – ce qui peut être un précieux don en soi –, mais l’envers de la médaille c’est qu’ils se retrouvent bien souvent à prendre sur leurs épaules « la merde » des autres… Une fois atteints d’une maladie chronique (qui en plus est controversée, donc souvent mal pris-en-charge), ce pattern peut atteindre son apogée. Ces personnes peuvent alors décider de faire tout en leur pouvoir pour que personne d’autre n’ait à passer au travers de cette souffrance. En ajoutant un nouvel argument afin de justifier leur besoin inconscient de sauver tout le monde, elles perpétuent le problème.
Cette problématique peut se manifester de plusieurs façons: se sentir responsable des sentiments des autres, sentir que c’est de votre responsabilité de vous assurer que la vie des autres se déroulent bien, penser que vous connaissez certaines personnes encore mieux qu’elles ne pourraient elles-mêmes se connaître, et sentir que vous avez à sauver les gens de leur propre douleur ou de leurs éventuelles erreurs.
Cette façon de voir est dangereuse car elle nous draine de notre propre énergie et nous laisse croire que nous avons un droit de parole sur le parcours des autres. Nous marchons côte-à-côte, c’set vrai, mais chacun de son côté. En d’autres mots, chacun a sa propre vie à vivre. Et nous nuisons à l’épanouissement des autres lorsque nous ne les laissons pas exprimer librement qui ils sont. Cette tentative d’«aider» les gens peut faire du tort aux deux parties impliquées.
À partir du moment où nous parvenons à accueillir cet aspect de notre personnalité qui nous pousse à tout prendre en charge, une incroyable somme d’énergie peut alors être libérée et dirigée vers les processus de guérison de notre propre corps.
Cette problématique peut se manifester de plusieurs façons: se sentir responsable des sentiments des autres, sentir que c’est de votre responsabilité de vous assurer que la vie des autres se déroulent bien, penser que vous connaissez certaines personnes encore mieux qu’elles ne pourraient elles-mêmes se connaître, et sentir que vous avez à sauver les gens de leur propre douleur ou de leurs éventuelles erreurs.
Cette façon de voir est dangereuse car elle nous draine de notre propre énergie et nous laisse croire que nous avons un droit de parole sur le parcours des autres. Nous marchons côte-à-côte, c’set vrai, mais chacun de son côté. En d’autres mots, chacun a sa propre vie à vivre. Et nous nuisons à l’épanouissement des autres lorsque nous ne les laissons pas exprimer librement qui ils sont. Cette tentative d’«aider» les gens peut faire du tort aux deux parties impliquées.
À partir du moment où nous parvenons à accueillir cet aspect de notre personnalité qui nous pousse à tout prendre en charge, une incroyable somme d’énergie peut alors être libérée et dirigée vers les processus de guérison de notre propre corps.
Vous êtes-vous reconnu dans certains de ces schémas?
Si l'un d’entre eux a résonné en vous, ce pourrait être une bonne idée de commencer à vous observer et même commencer à regarder en quoi il pourrait être associé à vos symptômes.
Votre corps est un messager et il essaie de vous dire quelque chose.
Qu’avez-vous à risquer d’essayer, pendant un certain temps, de vraiment vraiment l’écouter?
Votre corps est un messager et il essaie de vous dire quelque chose.
Qu’avez-vous à risquer d’essayer, pendant un certain temps, de vraiment vraiment l’écouter?
Vous pouvez consulter le texte original à l'adresse suivante:
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