10 bonnes habitudes alimentaires à adopter
... et à adapter
L’application des recommandations qui suivent demandent énormément de discipline, de détermination et… de compromis. Au début, des rages de sucres, de pâtisseries et de gras peuvent survenir. Mais la bonne nouvelle c’est qu’avec le temps, toutes ces pulsions régressent et finissent par disparaître. La routine s’installe, le garde-manger se transforme, les habitudes s’ajustent et le corps prend du mieux. L’important, c’est d’apprendre à lire les étiquettes tout en faisant l’épicerie, à cuisiner ses propres repas et à développer quelques réflexes de substitutions pour se faciliter la vie.
1. Boire 2 litres d’eau par jour
- Eau de l’aqueduc : il n’y a pas de législation quant au traitement des eaux usées des municipalités du Canada. Plusieurs études canadiennes sont en cours pour quantifier la pollution toxique subie par les cours d’eau. Pour hydrater un corps déjà très affaibli par la maladie, ce type d’eau devrait être réduit au minimum;
- Eau de source : les bouteilles contenant entre 10 et 100 ppm de minéraux dissous sont à privilégier. Il est recommandé d’acheter les bouteilles de grand format faites dans une matière plastique plus résistant qui ne se désagrège pas dans l’eau;
- Eau filtrée type Brita: Ce type de système de filtration au charbon activé compressé est peu dispendieux et protège contre plusieurs polluants et produits chimiques utilisés par les usines de filtration d’eau. Il faut absolument changer le filtre aux 2 mois.
- Eau filtrée par un système d’osmose inversée : Certains considèrent qu’il s’agit de la meilleure option. Ce type de système doit être installé sous le lavabo et une dérivation permanente doit être fixée près du robinet. Il y en a pour moins de 100$ chez Canadian tire, mais l’installation requiert des habiletés manuelles et quelques outils.
- Eau minérale : à éviter sur une base régulière si elle contient plus de 250 ppm de minéraux dissous (peut causer de la fatigue et des problèmes rénaux);
- Eau déminéralisée ou plate/Eau distillée: ajouter quelques gouttes de citron et une pincée de sel avant de la consommer (pour éviter l’élimination des « bons » minéraux fournie par notre alimentation quotidienne).
2. Prendre des probiotiques sur une base quotidienne
Il a été rapporté que la consommation régulière de probiotiques stimule le système immunitaire, aide aux processus de détoxification de l’organisme et favorise l’assimilation des vitamines et des minéraux. Comme tous ces facteurs peuvent être sévèrement affectés par la maladie de Lyme, la prise de probiotiques est fortement recommandée. Plusieurs études démontrent également les bénéfices lorsqu’utilisés pour soulager les symptômes des conditions suivantes : hypersensibilité alimentaire, intolérance aux produits laitiers, syndrome de l’intestin irritable, hyperméabilité intestinale (« leaky gut syndrome »), Candida albican, prolifération de levures, certaines infections intestinales parasitaires et dysbiose. Que ces conditions soient causées ou exacerbées par Lyme, il est tout indiqué d’adresser ces problèmes en recourant aux probiotiques.
En cours de traitement, pour rétablir la flore normale et limiter la prolifération de microorganismes opportunistes, on doit absolument prendre des probiotiques après chaque prise d’antibiotiques. Cependant, il est préférable d’attendre 1 à 2 heures après la prise du médicament pour éviter de détruire simultanément les bonnes bactéries fournies par le supplément. Veillez à prendre les meilleurs probiotiques sur le marché. Ceux-ci sont généralement réfrigérés, contiennent plus de 10 milliards de bactéries, sont contenus dans des entérocapsules, et présentent une date d’expiration sur la bouteille. Il est recommandé de consommer des souches de Lactobacillus acidophilus en alternant avec la prise de Saccharomyces boulardi afin d’éviter la prolifération opportuniste de Clostridium difficile (qui peut être fatale). On peut aussi varier les produits pour élargir le spectre.
En outre, on peut aussi aider la reconstitution de notre flore intestinale en consommant ½ tasse par jour de yogourt 0% sans sucre ou de kéfir. Si vous pensez souffrir d’un problème de candida, vous pouvez essayer de doubler les dosages recommandés. Certaines personnes devront également consommer des combinaisons d’herbes (pau d'arco, acide caprilique, huile essentielle de romarin, huile de thym, ail et extrait de pépins de pamplemousse) pour parvenir à contrôler les infections fongiques. Dans tous les cas, il est préférable de ne pas consommer les probiotiques avec un breuvage chaud pour ne pas détruire les bonnes bactéries.
En cours de traitement, pour rétablir la flore normale et limiter la prolifération de microorganismes opportunistes, on doit absolument prendre des probiotiques après chaque prise d’antibiotiques. Cependant, il est préférable d’attendre 1 à 2 heures après la prise du médicament pour éviter de détruire simultanément les bonnes bactéries fournies par le supplément. Veillez à prendre les meilleurs probiotiques sur le marché. Ceux-ci sont généralement réfrigérés, contiennent plus de 10 milliards de bactéries, sont contenus dans des entérocapsules, et présentent une date d’expiration sur la bouteille. Il est recommandé de consommer des souches de Lactobacillus acidophilus en alternant avec la prise de Saccharomyces boulardi afin d’éviter la prolifération opportuniste de Clostridium difficile (qui peut être fatale). On peut aussi varier les produits pour élargir le spectre.
En outre, on peut aussi aider la reconstitution de notre flore intestinale en consommant ½ tasse par jour de yogourt 0% sans sucre ou de kéfir. Si vous pensez souffrir d’un problème de candida, vous pouvez essayer de doubler les dosages recommandés. Certaines personnes devront également consommer des combinaisons d’herbes (pau d'arco, acide caprilique, huile essentielle de romarin, huile de thym, ail et extrait de pépins de pamplemousse) pour parvenir à contrôler les infections fongiques. Dans tous les cas, il est préférable de ne pas consommer les probiotiques avec un breuvage chaud pour ne pas détruire les bonnes bactéries.
3. Éviter l’alcool et le café
- Le Café : Plusieurs composantes du café peuvent effectivement altérer l'absorption des nutriments. Les composés polyphénoliques (tanins) que contient le café, par exemple, ont tendance à se lier aux molécules de fer pour former un complexe dans l'intestin. Cela inhibe l'absorption du fer et peut favoriser les carences. Le café peut aussi nuire à l’absorption des vitamines du complexe B qui sont souvent trouvées déficientes chez les personnes atteintes de la forme chronique de Lyme. Certaines personnes ressentent aussi l'effet stimulant de la caféine dans les mouvements intestinaux. En effet, la caféine peut accélérer le mouvement de la nourriture dans le tube digestif, ce qui diminue la digestion et l'absorption des minéraux et des vitamines en général. C'est pour ces raisons qu'il est préférable de ne pas consommer de café lorsqu’on souffre de la maladie de Lyme. Si vous éprouvez des difficultés à cesser la prise de caféine, le fait de diminuer significativement vos apports quotidiens, tout en les consommant entre vos repas (plutôt que pendant), pourrait être un compromis raisonnable.
- L'Alcool : L’alcool tue les spirochètes qui sont en circulation libre dans le sang (et atteint facilement la circulation sanguine du cerveau). Loin d’être considéré comme un antibiotique, l’alcool contribue plutôt à submerger le foie qui en plus de devoir désintoxiquer le sang des toxines libérées par la mort des bactéries, doit aussi métaboliser l’alcool pour qu’elle soit éliminée du corps (ne pas oublier que l’alcool est un poison). La consommation d’alcool peut aussi augmenter les niveaux de porphyrines et causer des symptômes identiques aux Herx. Sans oublier que la plupart des breuvages alcoolisés contiennent du sucre, la principale source de nourriture des spirochètes de Lyme. Si votre médecin vous a prescrit du métronidazole (Flagyl), lequel interagit dramatiquement avec l’alcool, vous devez même vous assurer que votre rince-bouche en est exempt… La maladie de Lyme compromet sérieusement la santé du foie, alors que cet organe est essentiel pour combattre et guérir de cette maladie. Donc avant de tricher pour le plaisir, pensez-y. Et si vous ne pouvez vous en empêcher, optez pour un petit verre de pinot noir, de merlot ou de cabernet, biologique si possible.
4. Dans votre assiette, penser à respecter les proportions idéales : « ¼ - ¼ - ½ »
L’assiette idéale est composée de 25% de protéines, 25% de céréales (ou pseudo-céréales) et 50% de légumes!
Les accompagnements de céréales/pseudo-céréales (riz, quinoa, etc.) peuvent être remplacés à l’occasion par des légumes riches en amidon : betteraves, carottes, panais, navets, céleri-rave, petits pois, patate douce, certaines courges d’hiver et bien évidemment la pomme de terre (qui doit être évitée si vous suivez une diète anti-candida).
Petits trucs :
Les accompagnements de céréales/pseudo-céréales (riz, quinoa, etc.) peuvent être remplacés à l’occasion par des légumes riches en amidon : betteraves, carottes, panais, navets, céleri-rave, petits pois, patate douce, certaines courges d’hiver et bien évidemment la pomme de terre (qui doit être évitée si vous suivez une diète anti-candida).
Petits trucs :
- Pensez à doubler la quantité de légumes requis dans vos recettes;
- Mangez une bonne salade ou une soupe aux légumes avant le repas;
- Empruntez une centrifugeuse à jus et amusez-vous à vous concocter des jus de légumes pour augmenter vos apports en vitamines et minéraux.
5. Diversifier les sources de céréales entières, de gras-santé et de protéines (tout en réduisant la consommation de viandes rouges)
CÉRÉALES et pseudo-céréales entières (autres que le blé):
Évitez les GRAS saturés :
Aliments et huiles riches en Omega 9 : Olive, avocat (huile et fruits), arachides, amandes, noisettes, noix de cajou, noix du Brésil, pacanes, pistaches et filets de hareng.
Aliments et huiles riches en Omega 3 et 6 : Chanvre, lin et poissons gras, Onagre, bourrache, carthame, tournesol, canola, pépin de raison, sésame.
Les sources de PROTÉINES à privilégier sont :
- Quinoa rouge, blanc ou noir
- Sarrazin
- Millet
- Riz : brun entier, rouge, sauvage, etc.
- Pâtes alimentaires : osez les nouilles au riz sauvage, au riz brun, au quinoa, etc.
Évitez les GRAS saturés :
- Ils ne se retrouvent que dans les graisses animales (dont la viande rouge), les produits laitiers et les huiles commerciales transformées (comme la margarine, le beurre, l’huile de Palme);
- Veillez à ne pas dénaturer les gras par un excès de chaleur. Par exemple, on peut ajouter un peu d’huile d’olive dans une casserole de soupe au moment de servir (et non pendant la cuisson);
- Choisissez plutôt des huiles de première pression à froid et variez-les. Certaines huiles sont riches en acides gras oméga 9 alors que d’autres sont plutôt riches en oméga 3 et 6. Assurez-vous de consommer des huiles des 2 catégories :
Aliments et huiles riches en Omega 9 : Olive, avocat (huile et fruits), arachides, amandes, noisettes, noix de cajou, noix du Brésil, pacanes, pistaches et filets de hareng.
Aliments et huiles riches en Omega 3 et 6 : Chanvre, lin et poissons gras, Onagre, bourrache, carthame, tournesol, canola, pépin de raison, sésame.
Les sources de PROTÉINES à privilégier sont :
- les œufs
- les noix/graines
- les légumineuses
- les poissons/crustacés
- les viandes à chair pâle : poulet, dinde, porc, etc.
- Céréales entières (le quinoa est particulièrement riche en protéines)
6. S’assurer d’un apport en fibres suffisant pour favoriser la vidange du colon
- Assurez-vous d’augmenter vos apports en fibres de façon graduelle en suivant les recommandations suivantes :
- Éviter la farine blanchie et le riz blanc, et privilégier plutôt les céréales complètes (en vérifiant les étiquettes).
- Manger davantage de fruits et de légumes frais, n’enlevez pas la peau (s’ils sont d’origine biologique), et conservez les tiges.
- Faites provision de légumineuses.
7. Minimiser la consommation de sucres en privilégiant les aliments à indice glycémique bas
Si vous combattez actuellement la maladie de Lyme, il serait important de voir à diminuer la consommation de sucres. En effet, le sucre a la réputation de nourrir les spirochètes et de supprimer le système immunitaire. De toute façon, que l’on soit malade ou en bonne santé, il n’en demeure pas moins que le corps humain n’est pas conçu pour consommer les formes de sucres actuellement sur le marché. Il est plutôt conçu pour absorber le sucre présent naturellement dans les aliments. Donc, les seules sources de sucre qui devraient être consommées sont celles retrouvées dans les aliments sains, entiers et nutritifs. Et encore là, on recommande d’en consommer en petites quantités.
Pour nous aider à diminuer progressivement notre consommation de sucres, il peut être judicieux de se fier d’abord à l’index glycémique des aliments. L’index glycémique est une caractéristique utilisée pour classer les aliments qui contiennent des glucides. Suite à l’ingestion de tels aliments, le taux de sucre dans le sang va inévitablement augmenter. C’est en mesurant l’intensité de cet effet hyperglycémiant que l’index sera mesuré.
Voici une brève liste d’aliments à index glycémique élevé (À ÉVITER) :
Voici une brève liste d’aliments à index glycémique bas (À PRIVILÉGIER) :
Pour consulter un tableau complet, cliquez sur le lien suivant : http://www.montignac.com/fr/ig_recherche.php
Pour nous aider à diminuer progressivement notre consommation de sucres, il peut être judicieux de se fier d’abord à l’index glycémique des aliments. L’index glycémique est une caractéristique utilisée pour classer les aliments qui contiennent des glucides. Suite à l’ingestion de tels aliments, le taux de sucre dans le sang va inévitablement augmenter. C’est en mesurant l’intensité de cet effet hyperglycémiant que l’index sera mesuré.
Voici une brève liste d’aliments à index glycémique élevé (À ÉVITER) :
- Glucose 100
- Galette de riz soufflé 95
- Riz blanc 88-90
- Carottes cuites 85
- Pain blanc 85 à 95
- Pommes de terres bouillies 73
- Céréales sucrées 70
- Confitures 50% sucre 65
Voici une brève liste d’aliments à index glycémique bas (À PRIVILÉGIER) :
- Riz brun entier 55
- *Pain de seigle 54
- Carottes crues 49
- *Pâtes de céréales entières 35-37
- Quinoa 35
- Haricots rouges 34
Pour consulter un tableau complet, cliquez sur le lien suivant : http://www.montignac.com/fr/ig_recherche.php
Les fruits À PRIVILÉGIER sont :
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À ÉVITER scrupuleusement:
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EN PETITES QUANTITÉS :
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Dans vos recettes de desserts, pensez à remplacer le sucre par :
- de la purée de pommes non-sucrée
- des épices comme la cannelle, le gingembre, la muscade
- du stévia (essayer plusieurs formes avant d’éliminer cette option!)
- la farine de sorgho et la farine de châtaigne ont un goût délicieusement sucré
- de la noix de coco sous toutes ses formes
- le lait de riz, le lait de coco, le lait de millet
- la poudre de caroube
En cas de problème de Candida ou de traitement antibiotique prolongé, cliquez ici pour accéder au régime « sans sucre ni levures" (plus spécifique et restrictif que les recommandations précédentes).
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8. Diminuer la consommation de gluten et de produits laitiers OU essayer de respecter les principes du régime hypotoxique pendant environ 3 mois
Il faut savoir que le GLUTEN a une action pro-inflammatoire. En effet, ces molécules peuvent effectivement déclencher une réponse immunitaire, à la fois parce qu’elles ne sont pas bien digérées par les différents systèmes enzymatiques, mais surtout parce qu’un grand pourcentage de la population présente une réponse auto-immune en leur présence. En d’autres mots, la molécule de gluten entraîne le système immunitaire à s’attaquer aux propres tissus du corps. Comme toute réponse immunitaire conduit inévitablement à la mise-en-circulation de médiateurs chimiques, l'inflammation ainsi suscitée entraîne une myriade de symptômes tels que de douleur, de l’œdème et des maux de tête.
Le gluten est contenu dans les céréales suivantes : Seigle, Avoine, Blé, Orge, Triticale, Épeautre et Kamut.
Le gluten est contenu dans les céréales suivantes : Seigle, Avoine, Blé, Orge, Triticale, Épeautre et Kamut.
Quant aux PRODUITS LAITIERS, c’est la protéine appelée caséine qui est responsable de provoquer de l'inflammation dans le corps. De plus, le lait provenant de vaches laitières nourries aux grains serait particulièrement débalancé au niveau du ratio des acides gras oméga-6 et 3 et donc plus susceptible de causer de l’inflammation.
Étant donné que la maladie de Lyme crée par elle-même un niveau considérable d'inflammation dans le corps, le fait de supprimer les sources additionnelles d'inflammation peut se révéler salutaire. C’est pourquoi l’adoption d’un régime sans gluten est si importante. Il permet une meilleure efficacité du système immunitaire dans sa lutte face aux infections.
Étant donné que la maladie de Lyme crée par elle-même un niveau considérable d'inflammation dans le corps, le fait de supprimer les sources additionnelles d'inflammation peut se révéler salutaire. C’est pourquoi l’adoption d’un régime sans gluten est si importante. Il permet une meilleure efficacité du système immunitaire dans sa lutte face aux infections.
Cliquez sur ce bouton pour explorer les grandes lignes du régime hypotoxique :
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9. Prioriser l’achat d’aliments frais et complets (d’origine biologique si possible) plutôt qu’industrialisés et transformés, et en profiter pour apprendre à cuisiner soi-même de bons repas simples et complets
Pour rendre sécuritaire la production massive de nourriture, de nouvelles technologies ont dû être élaborées à partir des années 50 afin de combattre les microorganismes. Ainsi, les traitements appliqués aux aliments (additifs pour conserver et/ou combattre les microorganismes, chaleur, déshydratation, ionisation, irradiation) ayant pour but d’augmenter leur sécurité et leur facilité de transport ont accru les réactions toxiques – connues sous le nom de glycoxydation – dans les aliments que nous consommons. La présence de ces glycotoxines agit comme un stimulant de l’appétit (ce qui provoque une suralimentation), de l’inflammation, de l’obésité, du diabète et de nombreuses maladies d’inflammation chronique.
Je vous suggère la lecture d’un bref article qui fait la compilation des 30 meilleures raisons d’éviter les produits transformés, dont voici mes préférées :
Je vous suggère la lecture d’un bref article qui fait la compilation des 30 meilleures raisons d’éviter les produits transformés, dont voici mes préférées :
- Les OGMs (organismes génétiquement modifiés) se retrouvent dans 80% des aliments transformés. Or, il est connu qu’ils contribuent aux problèmes digestifs, à la destruction des organes, à l’affaiblissement du système immunitaire, accélération du vieillissement, etc.
- Date d’expiration si lointaine indique que même les bactéries n’en veulent pas! (pensez au bacon pré-cuit…)
- Vous payez habituellement pour les efforts marketing des grandes marques plutôt que pour la qualité des aliments
- La plupart des saveurs de framboises proviennent des glandes annales du castor !!!
- Un repas préparé maison est un geste d’amour
- Tout le monde peut le faire, même vous!
Pour consulter l'article original, cliquez sur le lien suivant : http://www.equipealtius.ca/evite-les-aliments-transformes-en-30-raisons/ _
10. Ne jamais sauter de repas : 3 repas par jour sont nécessaires
*Veuillez noter que les aliments en caractères italiques précédés d’un astérisque ne sont pas conformes à la diète sans sucre ni levures ET/OU au régime hypotoxique.
Mise-en-garde :
Les aliments recommandés sur cette page n’ont pas été scientifiquement ou médicalement approuvés pour être consommés dans le contexte de la maladie de Lyme. Les recommandations sont basées sur des heures de recherches sur internet, sur la base d’expériences personnelles et sur quelques ouvrages de références nutritionnels et naturopathiques. L’état de santé de chaque personne étant unique, il est entendu qu’un même aliment peut être parfaitement toléré chez l’un et totalement nuisible chez l’autre. Il faut donc rester vigilant aux réactions du corps.
Les aliments recommandés sur cette page n’ont pas été scientifiquement ou médicalement approuvés pour être consommés dans le contexte de la maladie de Lyme. Les recommandations sont basées sur des heures de recherches sur internet, sur la base d’expériences personnelles et sur quelques ouvrages de références nutritionnels et naturopathiques. L’état de santé de chaque personne étant unique, il est entendu qu’un même aliment peut être parfaitement toléré chez l’un et totalement nuisible chez l’autre. Il faut donc rester vigilant aux réactions du corps.