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Je crois fermement que le corps possède un potentiel d’auto-guérison incroyable - fruit de milliers d’années d’évolution et d’adaptation – et qu’il sait instinctivement ce dont il a besoin pour retrouver la santé. En l’espace d’environ 50 ans, le mode de vie occidental nous a rapidement et profondément éloigné des habitudes de vie de nos ancêtres. Mais je crois que dans le contexte d’une maladie chronique, la volonté de guérir peut représenter une occasion inestimable de renouer avec les besoins nutritionnels du corps et ainsi de rétablir l’équilibre perdu.
L’application des recommandations qui suivent demandent énormément de discipline, de détermination et… de compromis. Au début, des rages de sucres, de pâtisseries et de gras peuvent survenir. Mais la bonne nouvelle c’est qu’avec le temps, toutes ces pulsions régressent et finissent par disparaître. La routine s’installe, le garde-manger se transforme, les habitudes s’ajustent et le corps prend du mieux. L’important, c’est d’apprendre à lire les étiquettes tout en faisant l’épicerie, à cuisiner ses propres repas et à développer quelques réflexes de substitutions pour se faciliter la vie.
Gardons l’esprit ouvert et rappelons-nous qu’il n’existe pas de diète parfaite et universelle pour supporter les efforts de guérison contre la maladie de Lyme. Chaque corps et chaque situation requiert des besoins nutritionnels qui leur sont propres et qui doivent être ajustés et adaptés de façon individuelle. Pour ce faire, il est impératif d’appendre à écouter son corps pour savoir ce qui lui convient le mieux.
Gardons l’esprit ouvert et rappelons-nous qu’il n’existe pas de diète parfaite et universelle pour supporter les efforts de guérison contre la maladie de Lyme. Chaque corps et chaque situation requiert des besoins nutritionnels qui leur sont propres et qui doivent être ajustés et adaptés de façon individuelle. Pour ce faire, il est impératif d’appendre à écouter son corps pour savoir ce qui lui convient le mieux.
L’application de ces recommandations demandent énormément de discipline, de détermination et… de compromis. Au début, des rages de sucres, de pâtisseries et de gras peuvent survenir. Mais la bonne nouvelle c’est qu’avec le temps, toutes ces pulsions régressent et finissent par disparaître. La routine s’installe, le garde-manger se transforme, les habitudes s’ajustent et le corps prend du mieux. L’important, c’est d’apprendre à lire les étiquettes tout en faisant l’épicerie, à cuisiner ses propres repas et à développer quelques réflexes de substitutions pour se faciliter la vie.